Stress post-traumatique : le rôle de la plasticité cérébrale

2025-01-09    IDOPRESS

Dix ans après les attentats terroristes de janvier 2015 – contre Charlie Hebdo à Paris,à Montrouge (Hauts-de-Seine) puis à l’Hyper Cacher de la porte de Vincennes – et près de dix ans après ceux du 13 novembre 2015,les marques restent encore vivaces pour de nombreux survivants. Dont certains ont développé un trouble de stress post-traumatique (TSPT).

Chez les personnes atteintes de ce trouble,les « mécanismes de contrôle » de la mémoire – qui permettent d’oublier ou de mettre à distance des pensées ou des souvenirs qui interfèrent ou envahissent votre esprit et vous empêchent de fonctionner – ne parviennent pas à inhiber l’activité de l’hippocampe permettant aux souvenirs intrusifs de resurgir.

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