Les usines chinoises exportent toujours davantage tandis que la demande intérieure est atone. A l’heure où les autorités ont décrété l’optimisme, les voix qui s’interrogent sont muselées.
Depuis samedi soir, le réseau social chinois est inaccessible des Etats-Unis. Il avait annoncé, vendredi, qu’il suspendrait ses services faute de garanties de l’administration Biden. TikTok est visé par une loi interdisant la plateforme pour des raisons de sécurité nationale.
La loi interdisant le téléchargement de l’application chinoise entrera en vigueur dimanche 19 janvier. Le président élu, intronisé le lendemain, a demandé du temps pour sceller le sort du réseau social préféré des Américains.
Alors que le groupe radiophonique fête son 50ᵉ anniversaire et que l’exécutif envisage toujours une réforme de la gouvernance de l’audiovisuel public, sa présidente s’efforce de mettre en avant ses succès.
Plus de 400 véhicules sans conducteur sillonnent la cité du centre de la Chine sur une superficie d’ampleur inédite, permettant au pays d’engranger les kilomètres d’expérience. Les taxis humains, eux, s’inquiètent pour leur avenir.
Dans un entretien au « Monde », l’architecte, dont l’agence est installée dans la ville américaine, évoque les problématiques, les enjeux et les perspectives à la suite des incendies.
L’ancien leader du groupuscule Zouaves Paris était jugé pour des violences commises lors d’un meeting d’Eric Zemmour, alors candidat à l’élection présidentielle, en décembre 2021. Le tribunal a prononcé une peine de dix-huit mois de prison, dont neuf avec sursis.
Fin 2005, c’est par son entremise que celui qui était alors directeur de cabinet de Nicolas Sarkozy au ministère de l’intérieur a rencontré secrètement Abdallah Senoussi, le beau-frère de Mouammar Kadhafi et l’organisateur de l’attentat du vol DC-10 d’UTA.
La Sétoise, ancienne de Meta et d’Instacart, n’occupera pas officiellement le poste de numéro deux. Elle épaulera néanmoins le PDG, Sam Altman, auquel « elle reportera directement ».
Alors que le président des Etats-Unis effectuera, du 13 au 16 mai, la première visite officielle de son second mandat en Arabie saoudite, au Qatar et aux Emirats arabes unis, ses fils y font fructifier les entreprises familiales sans se soucier des conflits d’intérêts.
Face à la menace du président américain d’imposer des droits de douane aux produits de santé, les laboratoires plaident pour une hausse des prix, estimant que les traitements ne sont pas rémunérés à leur juste valeur sur le Vieux Continent.
La plupart des entreprises ont jusqu’au 31 mai pour verser les primes d’intéressement et de participation à leurs salariés. Ces derniers ont ensuite quinze jours pour choisir entre percevoir l’argent et le placer sur un plan d’épargne salariale.
La Cour d’appel de Paris a infirmé en partie le jugement en première instance qui avait débouté en février 2023 les éditeurs juridiques historiques, estimant que la start-up du droit avait collecté de manière illicite des milliers de décisions de justice.
Le tribunal de commerce d’Albi étudiera mardi 13 mai les offres de reprise de Safra, le constructeur albigeois de bus à hydrogène, et de ses 169 salariés. Parmi lesquelles figure un candidat chinois.
L’Autorité de régulation de la communication audiovisuelle et numérique (Arcom) auditionnera, lundi et mardi les candidats à la tête du groupe de télévision publique. La présidente sortante, Delphine Ernotte, fait figure de favorite.
L’intelligence artificielle révolutionne l’expérience d’achat en fluidifiant le parcours client et en anticipant les besoins, mais elle fragilise le lien humain. Au risque d’un commerce standardisé et impersonnel.
Le mastodonte de la vente en ligne, implanté dans 150 pays, espérait une entrée remarquée à la Bourse de Londres cette année. Mais les nouveaux droits de douane imposés par l’administration américaine et la levée de boucliers en Europe contre l’ultra-fast-fashion compromettent son essor mondial.
En France, l’ancien ministre de l’intérieur Christophe Castaner et l’avocate et ancienne secrétaire d’Etat Nicole Guedj font partie des personnalités recrutées pour faire le lobbying du mastodonte chinois, aux côtés notamment de Günther Oettinger, ancien commissaire européen.